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ZOMES
NEWS
La
lettre des Amis des Zomes
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Cette lettre est destinée aux adhérents de l'association" Les Amis des Zomes".
Cependant, cet envoi n°1 est ouvert à tout le monde, à tous ceux qui, consultant le site alphazomes.org ont cliqué sur le lien.
Les prochaines lettres seront réservées aux "Amis des zomes" adhérants et quelques invités occasionnels. Ils seront avertis lors de leur parutions et recevront un code d'entrée.
Une adhésion prise en 2021 sera aussi valable pour tout 2022 !
Ne manquait-t-il pas une communication
assez
régulière entreamis des zomes?
Cette lettre est une tentative pour combler ce manque.
Si
j'ai quelques histoires à raconter et une grosse photothèque centrée
sur les zomes, de quoi produire quelques suites à ces nouvelle n°1,
j'aimerais bien ne pas être seul à amener des documents. Pour être
motivé à fournir un envoi régulier, j'ai besoin de vous et me sentir
accompagné.
Comment? En fournissant des textes et/ou des photos, des anecdotes
portant sur les zomes ou autres architectures alternatives.
Et plus simplement, concernant cette première lettre, en envoyant un
commentaire: si vous aimez cette formule ou non, ce que vous aimeriez y
trouver d'autre, ...
(jeansoum09@icloud.com)
Le zome du jour
Le Zern pavilion
Localisation inconnue
Source: Internet
Un dôme ou un zome?
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Mea Culpa
Il y a
quelque
temps, je
vous informais avec une certaine
tristesse du décès de Steve Baer
(né en 1938) qui est pour moi le père des zomes.
C'étaitt
Georges
(Zome Building Network)
qui me l'avait annoncé depuis la
Californie.
Il avait reçu un mail de Barbara Durkee
cherchant des
constructeurs afin de monter en
Virginie un petit zome pour rendre hommage à son mari Steve Durkee et aussi à Steve Baer.
J'avais
entendu
parler de Steve Durkee comme étant l'auteur
du nom ZOME. Comme je croyais que Baer en était le créateur, j'ai cru
un temps, avec la ressemblance des prénoms, que les deux
Steve étaient une seule personne.
Je me trompais et on reparlera une autre fois
des époux
Durkee et de leur rôle dans les zomes.
Quelques jours plus tard, George m'a transmis
le mail de
Barbara et ce n'était pas clair. Son mari, semble-t-il, était décédé ces
dernières années.
Mais Baer? On n'a pas besoin d'être mort pour
recevoir un hommage, n'est-ce pas?
Dans le
doute, j'ai envoyé un mail à
ZOMEWORKS,
l'entreprise fondée par Baer , pour savoir si la nouvelle
de sa mort était vraie.
J'ai reçu une réponse, juste un seul
mot:
" UNTRUE ", (pas vrai).
Et pour me faire pardonner de mon
erreur, Steve Baer sera le
premier dont je parlerai dans
l'histoire des zomes que je développerai en
plusieurs épisodes dans Zomes News!!
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HISTOIRE
et ACTUALITE
des ZOMES
Steve Baer
(il
y aura quelques approximations dans mes récits mais ils re-situent les
zomes dans leur contexte historique et environnemental).
Steve,
ingénieur
américain, a étudié en Europe
(Suisse ou Allemegne ?). Influencé par la contre culture ambiante
aux USA de la fin des années 60 et les travaux de Buckminster
Fuller, on rencontrera ses premières constructions à Drop City où
il a passé quelque temps.
Drop City
Ces années là
furent
marquées par le
phénomène "drop out". Des gens se rendaient compte qu'ils perdaient leur
vie dans la société de consommation américaine, et laissaient tout
tomber pour s'occuper de ce qui leur semblait le plus important pour
eux. Il y avait des étudiant, bien sûr, mais aussi des gens d'un certain
âge ayant une profession sûre en étant socialement bien intégrés.
De nombreux échanges
avaient lieu entre les
côtes Est
et Ouest, la route nationale 66 est devenue
célèbre. Drop City a été créée par des artistes comme un lieu d'étape à mi-chemin et d'expérimentations artistiques. Les
routards pouvaient y faire étape ou y rester quelque temps.
Elle se
situait dans
le Colorado, en bordure d'une
petite ville sans caractère particulier, Trinidad, sur un terrain
désolant, pelé et
sans aucun arbre.
Et là ont commencé à émerger des
strutures et
bâtiments alternatifs, des dômes recouvert de plaques métalliques
colorés, capot ou portières de voitures issus d'une casse proche. Une
merveilleuse audace.
En 1975, lorsque nous l'avons
visitée,
les doppers étaient moins actifs et Drop City était déjà abandonnée, devenant la première des villes
fantômes hippies.
A suivre dans une prochaine ZOME
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